En principe, le lien entre le bouddhisme et le thé est une évidence et une nature. Il existe des pratiques bouddhistes, dont la consommation du thé est incontournable. Cela peut concerner la vie quotidienne, le yoga, la méditation, le zen et la nutrition. C’est parce qu’il est reconnu pour ses propriétés apaisantes, méditatives, énergisantes, purificatrices et festives.

Le thé et le bouddhisme : une alliance fondamentale et raisonnable

Le bouddhisme a connu son apparition en Chine, au IIe siècle. Pourtant, il n’a connu son intensification qu’au VIe siècle. Plusieurs pèlerins, en provenance de l’Indochine et de l’Inde, franchissaient l’Empire. Ils étaient la source de la nutrition progressive du continent, d’une spiritualité intense.

Par la suite, le bouddhisme a connu une forte intensification, grâce à ses liens avec l’Océan Indien et son extension au sud. C’est à cette époque qu’apparaît la société aristocratique, dans laquelle le thé tenait une place extrêmement dominante.

Lors d’une culture syncrétique, la plupart des moines bouddhistes ont leur place en Chine, isolés dans les montagnes. Quant au yoga bouddhiste, il a une relation étroite avec le taoïsme. À travers cette culture et religion, la théière de qualité tient une place de prédilection, en raison de ses bienfaits énergétiques. Toutefois, pendant la méditation, le thé est une source d’énergie et d’éveil.

L’apparition du thé dans l’histoire bouddhiste

Il existe un nombre infini de légendes qui racontent l’apparition du thé. L’histoire la plus connue est son apparition dans l’année 2737 av. J.-C. c’était en raison d’une découverte chimérique de l’empereur Chen Nung. Selon cette légende, le thé se distingue par sa nature merveilleuse et tout aussi unique. Cela se manifestait en Chine, durant l’Âge d’Or. Durant ce temps, cet empire se considère comme le refuge de peuples de dieux.

Ainsi, la naissance du thé se réalisait durant une époque juste et florissante, qui se réfère à ce breuvage unique. En effet, Chen Nung se considère comme le procréateur de la médecine et de l’aromathérapie, grâce à la civilisation chinoise. C’est lui qui a appris le labourage de la terre et se qualifiait comme le donneur d’ordres :

  • Du monde
  • Du Temps
  • De l’Univers

Depuis cette époque, la célébration des plantes vertueuses, particulièrement le thé, s’est manifestée, annuellement.

Le thé dans le bouddhisme : la vertu et l’abondance

Certaines légendes mettent le thé en valeur dans les diverses époques de l’histoire chinoise. La totalité d’entre elles mentionne l’importance de ce breuvage sur le côté raffiné, culturel et philosophique de la Chine. Durant l’empire des Tsin (IIIe siècle avant J.-C.), une femme venait quotidiennement au marché pour vendre des feuilles de thé. Par la suite, elle distribuait l’argent aux indigents et aux orphelins.

Tout cela symbolise la vertu et l’abondance du thé dans l’industrie bouddhiste. C’est en raison de ses vertus miraculeuses et régénérantes, permettant de subvenir aux besoins des pauvres pour se réconforter. À part cette légende, il existe d’autres histoires mythologiques qui mettent en avant la valeur du thé dans le bouddhisme. Actuellement, le thé tient encore une place prédominante dans cette religion.